lundi 29 décembre 2014

Bricolage esthétique pour femmes


Jusqu'à maintenant, Mesdames, quand vous aviez besoin de planter un clou dans le mur, vous demandiez à votre moitié de venir. C'était avant de découvrir les nouveaux outils de Monsieur Black & Decker à l'occasion d'une soirée atelier très ludique organisée pour des blogueurs par la marque.

En effet, bricoler semble-t'il n'est pas ou plus une activité réservée uniquement aux hommes. L'évolution des produits aussi bien en terme de design, de technique que d'ergonomie a grandement contribué à l"unisexualisation" de l'activité.
Les femmes n'ont plus besoin de leurs hommes pour choisir leur chirurgien esthétique, elles n'ont en plus besoin non plus pour clouer, visser,coller,marteler et faire ce doux bruit de la perceuse qui comme son nom l'indique vous troue l'oreille pendant le match de foot.

Finies les perceuses qui pèsent trois tonnes et qui ne peuvent être tenues que par des bûcherons, finies aussi les engueulades parce que le miroir de la salle de bain est posé trop haut et qu'on ne peut pas se voir dedans...
Plus besoin d'avoir une formation technique pour utiliser une perceuse ou une scie sauteuse ni d'un homme sous la main.

A travers différents ateliers plutôt rigolos réalisés en solo et en groupe, nous avons eu la possibilité de tester les nouveaux produits Black & Decker correspondant aux différentes gammes de la marque: bricolage, jardinage et aussi nettoyage. 

Facile de visser avec la nouvelle visseuse intuitive Gyrodriver , il suffit de tourner l'outil sur la droite pour qu'il visse et sur la gauche pour qu'il dévisse.... si ça c'est pas magique!

Facile de percer, visser, scier, poncer, osciller... avec Multievo, le tout nouvel outil polyvalent indispensable à tout bricoleur et bricoleuse composé d'un corps et de 5 têtes amovibles. 
Un seul corps de machine qui s'adapte à toutes les fonctions, soit une seule charge et aussi moins d'encombrement, puisque tout tient dans une seule mallette.. 
Côté utilisation, d'un simple clic on change de tête, plus besoin de clé pour la dévisser et côté poids, la tendance est à la légèreté. Rien à voir avec la scie sauteuse que j'ai utilisée il y a un dizaine d'années pour fabriquer mon bureau et ma commode en carton! 

Facile de jardiner avec le taille-haies portatif ultra léger qui permet de sculpter et d'égaliser ses troènes en un temps record ou de souffler toutes les feuilles mortes du jardin à l'automne avec le souffleur sans fil et accessoirement les jouets sous les lits des enfants... ou encore de nettoyer tous les sols avec le balai nettoyeur vapeur Steam Mop

mardi 18 novembre 2014

30 défauts du nez


30, c'est un chiffre indiqué à la volée. Il y a sans doute beaucoup plus de défauts sur un nez. Et je vous parle pas d'un bouton ou d'une verrue, même si c'est pas beau, je vous parle de déformations qui pourraient donner lieu à du remodelage en règle.

Plus de 30 problèmes obligeant à consulter, ça mériterait une page d'informations plus complète sur la rhinoplastie, histoire que chacun d'entre nous puisse voir dans le détail si il ne serait pas concerné.
Si Cléopatre, Cyrano et Madame Dupont se sont fait connaitre par leur nez et par l'originalité de leurs appendices nasal, c'est bien que celui-ci est très conséquent dans notre rapport aux autres.

mercredi 2 avril 2014

Menton menteur



Dites manteau et menton plusieurs fois de suite en tachant de ne pas vous tromper dans la prononciation. Cette torture grammaticale ou syntaxique vient de cette proximité méchante entre le son "o" et le son "on".
Ah bien sur, quand on est grand et qu'on à l'âge de raison comme dirait Sartre, on se moque de ces confusions infantiles. Menton, manteau, menton, manteau.....

Le son est menteur. Il ne l'entend pas de cette oreille, il nous galvanise dans l'erreur car à un moment ou un autre, on chutera sur la terminaison, tellement elles se ressemblent. Sans s'assembler du reste puisque l'un est une articulation décisive du faciès pour laquelle on va même chez le chirurgien, tandis que l'autre désigne un universel vague dans lequel on pourra mettre la veste, la gabardine, le blouson ou encore la doudoune.

Et la langue française attend les plus jeunes très tôt au tournant. Qu'est-ce qu'il y a dans les couloirs des écoles devant les classes ? Des porte-manteaux, ils sont déjà posés là comme des occasions de douloureuse faute de prononciation sévèrement réprimandée.

C'est l'utile à double tranchant. Que dis-je, c'est l'utile à triple tranchant. L'utile routinier de la fonction, l'utile langagier de l'apprentissage et enfin l'utile terrifiant et sans âge celui-là de la révélation que nous ne savons toujours pas accordé les mots valises. Les rigoureux de la langue vraie, torréfiés dans la bouche des instituteurs à barbe et pantalons de velours, pas les originaux imaginés par Boris Vian.

Tandis que l'enfant, l'adolescent et un jour l'adulte s'échine à deviner si c'est au mot porte ou au mot manteau qu'il faut mettre la marque du pluriel, d'autres plus libres et sans complexes utilisent des patères. Mais sauraient-ils ne pas les confondre avec les Pater ?

mardi 18 mars 2014

L'oreiller



Ah n'est-il pas formidable que l'instrument du sommeil réparateur soit de la même famille sémantique que l'un de nos principaux sens ? L'oreiller est bien le siège reposant de nos oreilles. Oui mais aussi de notre tête, c'est-à-dire de notre esprit.

L'oreiller est donc l’ustensile qui repose l'esprit. Et comment ? En accueillant l'occasion pour un sens aigu de ne plus interagir avec le monde. Un bon sommeil se fait dans le silence. L'oreiller nous préserve du bruit, des bruits, du brouhaha. De la sieste au sommeil de la nuit, c'est l'abri qui confine et habilement doit nous rendre sourd.

Raison de plus, en voici certains qui ont besoin de boules de cire (Quies étant un nom de marque) pour accroitre le principe. Celui qui se réveille pimpant après avoir dormi tout son saoul est surpris qu'on lui raconte un incident de la nuit : non, il n'a rien entendu.

Ni même lui-même. L'oreiller accueillant l'est encore davantage si il permet à son propriétaire de ne pas être incommodé par son propre souffle : le ronflement. La nuit est la paix de l'esprit.